1989
classique / Vendu
Ferrari F40
- 1989
- 25 850 Km
- 478 CV
- Vendu livré Pozzi
- Prix sur demande
-
Année
1989
-
Km au compteur
25850
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Conduite
à gauche
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Carte grise
Francaise
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Nb de places assises
2
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Nb cylindres
8
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Cylindrée
2936
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CV Din
478
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CV fiscaux
12
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Boîte
Manuelle
5 rapports
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Couleur extérieur
Rosso Corsa
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Couleur intérieur
Tissus Tech Rosso
Options et équipements
La F40 est connue des passionnés comme la dernière Ferrari conçue et fabriquée sous le contrôle et du vivant d’Enzo Ferrari. Cette auto radicale reprenait le concept de la Ferrari 288 GTO. Celle-ci, forte de 400 ch et d’un châssis très sportif, dépassait 300 km/h ce qui, en 1984, était réservé à une élite. Ce modèle hors du commun avait marqué l’esprit et Ferrari souhaitait garder son avance sur ses concurrents dans le domaine de très hautes performances. L’année 1987 était particulièrement propice pour marquer un grand coup, car elle correspondait à l’anniversaire des 40 ans de Ferrari. C’est donc en 1987 que la F40 fut présentée à quelque 80 journalistes triés sur le volet en présence d’Enzo Ferrari lui-même, de Giovanni Battista Ruzelli (directeur général), de l’ingénieur Materassi (chef de projet) et de Fioravanti (directeur du Centre d’Étude et de Recherche de Pininfarina). Son nom ne devait rien au hasard, le 40 correspondant à l’âge de l’entreprise. Pour la F40, Ferrari avait concentré tout son savoir-faire et elle se rapprochait d’une voiture de course adaptée à la route : son V8 double turbo développait 478 ch à 7 000 tr/mn, elle comportait des suspensions d’une incroyable efficacité et un châssis léger et rigide grâce aux matériaux composites utilisés également pour les capots, les portières et le toit. Au lieu de la boîte de vitesses à cinq rapports classique, le client pouvait commander sur demande une version course à crabots. La garde au sol de la voiture pouvait être modifiée selon trois positions. La carrosserie, malgré les écopes et les prises d’air aérodynamiques destinées aux douze radiateurs de refroidissement (pour le moteur, les turbos et les transmissions) et les très larges pneumatiques, affichait un excellent Cx de 0,34. La forme de la voiture, signée Pininfarina, traduisait la priorité accordée à la fonction et à l’efficacité aérodynamique, comme en témoignait le large aileron arrière montant presque au niveau du pavillon.
Aujourd’hui, les performances de la F40 restent époustouflantes mais, en 1987, la voiture faisait figure d’extra-terrestre : elle atteignait 324 km/h en vitesse de pointe et son chrono sur le km départ arrêté s’établissait à 21 secondes, un temps que n’égalait que quelques rares voitures de production artisanale. Au départ, la F40 devait être produite à 400 exemplaires mais, entraînée par l’engouement des acheteurs et des investisseurs, Ferrari en a produit presque autant que la Daytona, soit environ 1 300 exemplaires. Un an après la présentation de la F40, Enzo Ferrari s’éteignait, à l’âge de 90 ans. Avant de disparaître, il avait eu encore le temps de donner naissance à son dernier chef-d’œuvre sans compromis, la F40.
Le véhicule présenté à été livré a son premier propriétaire le 29-septembre -1989 par les Ets POZZI importateur pour la France et Monaco de la marque. Non catalysé, climatisé avec les vitres descendantes la version la plus aboutie et une des versions la plus recherchée des collectionneurs.La côte de ne fait que grimper une belle auto avec un dossier facture, un carnet complet et à jour, suivi exclusivement dans le réseau.